On doit à Sucrose de remarquables résultats dans le domaine de la bio-alchimie.

Ses recherches… Ou plutôt, comme elle aime à le répéter, sa « quête de vérité » l’amène parfois à obtenir d’étranges et mystérieuses créations.
Un type de pissenlit contenant six fois plus de graines (à tel point que lorsque souffle le vent, les gens n’ont d’autre choix que de fermer portes et fenêtres en tout hâte), des baies à crochets capables de casser la brique, ou encore des pommes crépusculaires ressemblant à s’y méprendre à des potirons…
Autant de découvertes qui laissent Sucrose perplexe, mais font avancer ses recherches à grands pas.

Mais il faut bien l’avouer, trouver des noms pour chacune des bizarreries qui sortent de son laboratoire reste peut-être la tâche la plus ardue. Pour Sucrose, ceci est encore plus douloureux que de voir les résultats de ses expériences cueillis par des passants peu scrupuleux, ou de voir ses ingrédients contaminés par des mains sales.
Prenons l’exemple de cette fleur sucrante, au nectar dense comme de la glue. Il aura fallu à Sucrose un… certain temps pour finalement trouver un nom qu’elle juge à la hauteur (par « un certain temps », comprenez plus longtemps encore que le temps requis pour polliniser tout un champ de manière artificielle) :
« Voyons voir… Voici la fleur du 28ème essai… euh, la fleur de la phase 28… Hum… Il me faut un nom plus scientifique… »
« Je sais, on va l’appeler… Fleur sucrante version spéciale de la 28ème édition ! »

« La vie sans expériences ne vaut pas la peine d’être vécue ! » —— Citation de Sucrose (très énervée après qu’Albedo l’ait forcée à prendre des vacances)